En 2002, pour marquer le 20e anniversaire de notre Club nous avons passé un week-end en Avesnois.
5 ans plus tard la majorité de celles et ceux qui y participaient et bien d’autres heureusement aussi, se retrouvent en Hesbaye car, comme l’a dit le poète :
Parce qu’on a vieilli
On a trouvé meilleur
Un banquet à midi
Pour rentrer de bonne heure. …
Dans cette allocution d’ouverture j’ai choisi de ne pas rappeler les quelques moments douloureux que nous avons connus ; de ne pas non plus faire un historique de nos activités puisque Elvire et Pierre se feront tout à l’heure un plaisir de vous remettre le fascicule qu’ils ont élaboré, avec le goût et le soin qui les caractérisent, fascicule qui, photos à l’appui, retrace le calendrier des 5 dernières années de nos rencontres. Je les remercie déjà très sincèrement en notre nom à tous.
J’ai préféré tenter contribuer à ce que se poursuive tout au long de cette journée une ambiance joyeuse, une tranche de ce bonheur que nous cherchons à trouver ensemble, et pour certains depuis de si nombreuses années !!
C’est donc animé du souci de vous faire rire que j’ai imaginé une histoire dans laquelle chacune et chacun de nous est un acteur qui y a conservé son prénom.
Voilà une occasion amusante de nous rassembler vraiment tous, mais aussi de nous aider à mieux nous connaître : efforçons-nous donc de mettre un ou plusieurs visages sur chacun des 49 prénoms qui sont cités dans le récit, ceux-là même que comporte la liste actuelle des membres.
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60 membres mais :
2 Lucy 2 Georges 21 prénoms pour 10 personnes donc 49 prénoms
2 Denise 2 Robert sur 60 membres
2 Jacqueline 2 Henri
2 Jeanine 2 Maurice
2 Jeanne 3 François
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Les Ecossais : 
M. Dangoxhe
R. Sougnez Mac Raw
Wathelet
Paternotte Mac Letos
Burniat Mac Allan
Van Rechem Mac Totoute
Debacker
Kinet
Roger Sevrin, toujours vivant mais ne participait pas au 25e : because sa femme malade
Il y avait aussi en Ecosse : Lambert Radoux et René Sougnez qui ne viennent plus pour cause d’incapacité.
Je ne me souviens plus des autres « mac », je ne pourrai donc les citer tous.
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A LA RENCONTRE DES KATROYENS DE LA CUVEE 2007
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1. Après avoir LU CY la météo était favorable, JOSE partir pour un week-end à la mer.
Sitôt arrivé, je me suis installé dans un restaurant qui ne payait pas de mine et dans lequel se trouvait cependant un bahut RENEssance sur lequel on avait posé un bouquet de GUI.
2. GER RAR(D)ment vu une clientèle aussi hétéroclite :
▪ Dans un coin, un ancien colonNEL LY son journal en fumant une
Philipp MAURICE qu’il avait conservée de l’armée américaine.
▪ Au centre, une jeune fille dont la ROB ER Troussée jusqu’à mi-cuisses mais qui porte un châle en crêpe GEORGETTE relate le récit que lui fait son ami journaliste qui a suivi, en hELIcoptère le rallye automobile Saint-GIL BERlin.
▪ Au fond un artiste exhibe sa dernière sculpture : une oranJE AN PIERRE.
▪ Ailleurs un étudiant LI L’Ystoire dramatique de ce fraGIL BERTElot, inventeur de la thermochimie, qui mourut très jeune.
▪ Le garçon s’approcha de moi et me demanda : qu’est-ce que vous
DESIRE(z) ? Conseillez-moi, lui dis-je, car je ne mange pas de
soJ(E)A NI NE boit d’alcool.
▪ Alors me dit-il je vous suggère une de ses SUZ A (N)NE pas oublier, c’est une boisson qui ne contient ni amanDE NI SErise.
▪ Tout à coup, un policier qui boit un JU LI ET TEléphone en même temps crie à son correspondant : Je suis seul sur l’enquête car l’autre aJEAN MARIE sa fille ; que veux-tu, ce sont les a LEA du métier, mais vraiment, J’EAN ai marre d’interroger un suspect, qui, par crainte d’être, pu NI, NIE la vérité en me racontant une histoire qui N’A NI queue ni tête. Vois-tu, J’ACQU(ES)cepterais même qu’un mouCHAR LE(S) dénonce. Alors sois FRAN COIS sincère, dis-moi qui a embouti la voiture que la BERN A DE(T)TEriorée.
▪ Au comptoir, un ivrogne qui déJ(E)A N(N)E sait plus ce qu’il dit
clame ses regrets d’être là seul alors que chez son oncle
GHI, LAI NEveux sont tous réunis. Excédé, le patron le f ESTHER pour qu’on puisse entendre le juke box.
Effectivement Toots Thielemans termine un air d’harMONICA et voilà déJA (C)QUE LINE Renaud nous serine une autre chanson.
Personnellement je trouve que Julien CLAIR ET TEllement plus poétique !
De toutes ses ritournelles voici que déMAR CELLE que je préfère :
« femmes je vous aime ».
Mais…tout compte fait j’aime encore mieux MA GGYtard, aussi je décide d’aller en jouer sur la plage.
3. A peine installé, mon regard s’est porté sur une jeune stARLETTE qui se dorait au soleil en string et sans soutien-GEORGES….
Jamais, mais alors jamais, GE NE VI EVE si belle ; un vrai corps de statue de l’acroPOL.
Tout à coup elle se releva et, zigzaguant pour éviter les PIERRE(s),
elle se dirigea vers l’O DE(T)Terminée à braver le froid des flots.
Quelques instants plus tard EL VIREvoltait dans les vagues.
Quand elle sortit de l’eau elle me regarda HEN RIant.
J’ai admiré son sourire qui était si FRAN CI(s) naturel que J’OSE PHinale-ment m’approcher d’elle. Mais à cet instant son MARI ETT(E) arrivé vers elle, une ROS A la main.
Alors, pour ne pas semer la zizANNIE dans le ménage, j’ai quitté la plage car j’étais convaincu qu’ils seraient plus heureux à deux…..K3
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Diapo d’illustration ci-dessous ET sur le site K3 à la page “Liens“, rubrique “le club en videos” : cliquer sur la vignette 25e ou à cette adresse.
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Le texte de Jean-Marie pour célébrer les 25 ans du club :
